Souvent je me suis demandé pourquoi j'ai décidé de faire des études de médecine. Certains le font par vocations, d'autres parce que leurs parents ont suivis cette voix. Pour ma part c'est des flashs une voix intérieur me poussant à le faire. Aujourd'hui je me sens perdu et encore plus car se n'est pas moi le médecin mais le patient. Une visite post op, des résultats qui sont apparemment inquiétant. Une anémie en hausse, des globules blancs beaucoup trop élevés. On me demande de désigner un tuteur. Les heures passent, je sais pas trop quoi faire des examens sont prévu pour les prochaines semaines. Je viens de m'installer sur un banc du parc de l'hopital avec un café. Je me risque à envoyer un sms à mon frère. J'ai besoins de parler à quelqu'un.

La réunion devenait longue bien trop longue à mon gout. Bon d'accord, ma soeur ça faisait étrange de penser qu'elle était encore en vie. J'avais l'impression d'être légèrement largué. Pourtant, je suis soulagé. Soulager de la savoir vivante, mais le problème c'est cette tombe . Cette tombe qui ne sert à rien depuis pas mal d'année. J'avais retiré la croix que j'avais autour cou et l'avais mis dans ma poche dans sa petite pochette. Pour pouvoir la redonner à ma sœur. Le souci c'est que je m'attendais à avoir des paparazzi dans les coins.

J'étais presque en train de m’endormir parce que là. On parlait de choses qui m'intéressaient pas vraiment quand mon téléphone vibra une troisième fois dans ma poche. C'était Mae ri qui me demandait de venir la rejoindre. Elle avait quelque chose à me dire. Je me penche vers mon agent lui disant que je devais partir de toute urgence chercher mon petit frère qui c'était blesser à l'école. Bon d'accord c'était un gros mensonge et heureusement j'étais un sacré bon menteur.

Je sors avec une grande discrétion de la réunion et me dirige vers ma moto. Aujourd'hui j'avais pris la moto et non la voiture. Besoins de sentir l'air fouetter mon visage. J'enfile le casque parce que sécurité avant tous et le gant en cuir. Chevauche la monture et enlève la béquille ainsi que mit le moteur en route. Me voilà partit en direction de l'hôpital et me gare pas très loin du parc de celui-ci. Puis, range mes affaires dans le coffre et sors. J'enfile juste mes lunettes de soleil noires. Pour être tranquille.

- Hey, coucou petit princesse comment tu vas ?

Le parc a quelques chose de reposant, c'est pour cette raison que l'on peut y croiser des patients mais aussi des médecins et autres personnels soignants. Je laisse un moment le doux vent frais balayer mon visage. J'ai toujours aimé cette sensation. Je pourrais rester dans ce parc pendant des heures et des heures. Une voix me tire de mes pensées. Je rouvre les yeux et fais un petit sourire

"hey coucou. on va dire que ça va et toi?"

Je tapote le banc à coté de moi pour l'inviter à s'asseoir à mes cotés. Maintenant je sais qu'il est le garçon de mes images tout comme je sais que l'autre garçon est mon petit frère. Que j'ai entrecroisé la veille. Je reprends

"Je sens que je peux avoir confiance en toi. J'aurais quelques choses à te demander."

Je fronce les sourcils quand elle dit qu'on va dire que ça va. Bon je ne vais trop insister pour le moment et je m'assis sur le rebord du siège du banc. Les pieds sur l'assise je me mets ainsi depuis qu'un jour alors que je m'étais assis. Un chewing-gum c'est retrouver coller sur mon pantalon d'uniforme. Je me suis pris un sacré savonné par ma mère .

Je la regarde et penche la tête légèrement sur le côté quand elle me dit qu'elle peut avoir confiance en moi. Un sourire s'affiche sur mon visage et je la regarde en posant ma main sur son épaule et dis:

- oui tu peux me faire confiance et vas-y demande-moi tous ce que tu désires.

je regarde mon frère s'asseoir sur le banc il semble ne pas vouloir s'adosser. Je pourrais même dire qu'il s'assoit sur le bord comme si le banc allait le mordre. Je préfère ne pas en faire la remarque car nous avons tous nos tics et nos manies. Je le sens profondément que je peux lui avoir confiance.

"J'ai quelques soucis de santé et des examens de prévu. Le médecin qui me s'occupe de moi m'a demandé de désigner un tuteur. Est ce que tu accepterai d'être le mien?"

Bien sur j'aurais pu demander à Tomoya mais j'ai pas envie de le déranger ni lui ni mon amie avec tout ça. Je reprends

"De prendre certaines décision si je ne peux pas le faire en temps voulu? Bien que je te rassure on en arrivera pas à ce point c'est juste sur le papier."

Je la regarde et descend du banc, je ne tenais pas en place. Oui, puis on va dire qu'être assis sur ce maudit rebord ça fait mal aux fesses. Je tiens tout de même à mon magnifique derrière qui est tout de même mon gagne-pain. Enfin avec mon visage et ma voix.

- J'en serais ravi d'être ton tuteur. Bien que je pense pas qu'on en arrivera là non plus.

Je sors de ma poche la petite pochette. Lui tend et dit d'un air pour essayer d'avoir l'air cool. C'était le collier son collier. Ce collier qui allait enfin lui revenir de nouveau. Je n'avais plus besoin de la sentir près de moi. Je savais qu'elle était vivante et elle en avait plus besoin que moi de ce cher porte-bonheur.

-Cette fois garde le toujours près de toi. Tu disais quand je te l'ai donné que c'était ton porte-bonheur. Le jour de ton accident tu ne le portais pas.

Si un paparazzi ou un journaliste passait dans le coin j'aurais droit aux interrogations habituelles. je vois déjà de loin le gros titre " mais qui est donc cette jeune fille qui a ravi le cœur du leader des Lovers5"

je lui fais un petit sourire il accepte d'être mon tuteur. Parfois on demande certaines démarches au cas où ça se passe mal mais dans le fond il vaut mieux pas trop y penser. Et je n'ai pas l'intention de mourir tout de suite. Il me tend une pochette je l'a prends avec beaucoup de douceur je l'ouvre. Dedans il y a une croix. La fameuse croix qui a déclencher les images la dernière fois. Je l'effleure du bout de mes doigts. Un porte bonheur.

"Je crois que je m'en souviens. Tu m'aide à l'attacher?"

Je me tourne pour qu'il m'aide certains mouvement sont compliqués en ce moment à faire et je ne veux pas avoir plus mal que necessaire. Je reprends

"Est ce que ça te dis qu'on aille discuter autour d'un gouter?"

Je prends la croix et retire les cheveux de la jeune femme pour les mettre sur le côté. Je passe la croix autour de son cou et l'attache. Quand, celle-ci est enfin attachée relâche la chaîne qui tombe le long de la poitrine de ma sœur. Je lui remets ces cheveux correctement et reviens à ma place ce qu'il veut dire debout devant elle. Puis, elle me demande si je veux venir prendre un goutter avec elle.

- Oui, avec grand plaisir.

Je passe mes mains dans ma chevelure que j'avais légèrement laissée pousser et surtout teint en châtain presque roux. Ce qui me donnait un petit côté doux sur le visage d'après mes camarades. Combien de fois , ils m'ont taquiné quand ils ont vu ma nouvelle coupe.

je laisse mon frère me mettre le collier. Ses gestes sont tellement doux et délicats. Il revient devant moi. J'ai tant de questions et j'imagine que lui aussi en a. Ce que nous vivons est loin d'être banal il faut le reconnaitre. Beaucoup de questionnement. Nous devons apprendre à nous apprivoiser. Je lui fais un petit sourire avant de dire

"On va aller à la petite cafétéria à cette heure il n'y a pas grand monde."

Nous nous dirigeons vers la dite cafétéria. Je connais l'hopital comme ma poche en y travaillant c'est comme ma deuxième maison.

"Je travail ici je suis médecin aux urgences je sais où on peut être au calme. J'ai mes petites cachettes ici"

Moi l'hôpital je ne connais pas vraiment et on va dire que même malade si je peux éviter l'hôpital j'évite. Bon, je suis un mec et comme tous les mecs je suis du genre à être complètement à la ramasse presque mort avec un simple rhume alors les jours ou je suis gravement malade. Je suis à l'article de la mort. Je suis même en train d'écrire mon testament.

- Je te suis, je ne connais pas vraiment l'endroit moi.

On arrive enfin vers la cafétéria, le souci quand on est une star et qu'on est avec une star. C'est les regards curieux et ce qui veulent venir nous voir. J'ai la tête baisser espérant qu'on ne va pas me reconnaître. Alors pour pouvoir me diriger correctement. Je lui tiens son haut pour ne pas tomber ou bousculer une personne et surtout ne pas la perdre de vue.

- Oui un endroit tranquille.

Je me doute qu'il ne connaît pas l'endroit. Les hommes en général sont connu pour aller à l'hôpital quand dernier recours et souvent trop tard. Je peux sentir la main de mon frère me tenir le heur de ma veste. Il agit curieusement comme s'il était une petite souris voulant se faire discrète. Je prends deux plateaux et lui mets plusieurs choses sur le sien vu qui semble vouloir se perdre dans ma veste plutôt que dans ce qu'il a sous le nez. Je paie et nous dirige dans une arrière salle de repos accolé à la cafétéria

"nous sommes seul tu peux lever la tête et t'asseoir. J'espère que tu aime le chocolat et les fruits car comme tu n'as pas choisit j'ai essayer de faire au mieux sur ce qui pourrait te plaire"

Je pose les plateaux sur la table et m'assois dans un des fauteuils j'ouvre les bouteilles de boissons en disant

"tu as peur que quelqu'un te reconnaisse? J'avais l'impression que tu voulais disparaître dans ma veste"

Bon d'accord je devais pas vraiment passer inaperçue, mais cela pouvait passer pour une personne qui n'aime pas l'hôpital. Je soupire de soulagement quand elle me dit qu'on est enfin dans un endroit seul. Je relève la tête et vois une grappe de raisin. J'aime le raisin c'est mon petit pécher mignon.

- Merci, le chocolat ce n'est pas trop mon truc, mais se pourrait plaire à notre petit frère. Sinon pour le reste c'est super j'adore surtout la raison.

Je commence à manger et souris quand elle me demande si j'ai peur qu'une personne me reconnaisse.

- Franchement, depuis que j'ai mis en pause ma carrière et qu'on a annoncée il y a une semaine qu'on reprenait notre carrière. Je crois que je suis légèrement parano. Regarde, rien que le fais de la première fois qu'on sait rencontrer. C'était le premier concert qu'on donnait depuis notre retour. Tu as vu la foule qu'il avait . Bah à l'époque , il y avait plus de monde.

Je la regarde et dis:

- je suis désolé, je ne suis pas le frère parfait. Tu as comme grand frère une star connue dans la Corée qui ne peut pas faire un pas tranquille sans qu'une personne veuille se faire prendre en photo avec lui.

Tout en écoutant mon frère je le regarde. Je prends note dans un coin de ma tête qu'il n'aime pas le chocolat mais qu'il adore le raisin et les fruits. Pour ma part le chocolat est mon péché mignon. Quand je me sens fatigué quand je suis triste, ou bien en hypoglycémie j'ai toujours des réserves dans mes poches ou sac

"Moi j'adore le chocolat les fruits aussi surtout les pommes."

J'invite mon frère à s'asseoir je prends une pommes je croques dedans je l'écoute parler. Sa voix à quelques choses de protecteur et de rassurant

"j'imagine que ça doit être pesant une telle médiatisation. Mais tu es mon frère avant d'être une star. Tu as certainement des questions si tu veux on peut chacun notre tour se questionner pour apprendre à se connaitre qu'en pense tu?"

- C'est avec grand plaisir. Je te laisse commencer avec les questions.

Je souris qu'elle dise que je suis son frère avant d'être une star. Je suis toucher et surtout qu'elle accepte aussi facilement de me considérer ainsi.

- Pour toi, je suis ton frère . Mais au retour, je ne baisserais pas la tête et on verra comment ton collègue réagisse en me voyant. Surtout, si y a des anciennes de Lovers5. Il y a deux sortes de fan, les groupies qui vont venir vers nous et va vouloir me toucher. Avoir un autographe et surtout prendre des photos avec moi. Celle-là c'est les moins dangereuses parce que quand elles ont ce qu'elle désire alors c'est fini. Puis, tu as celle qui fait les je m'en fous. Elles vont t'observer et quand tu serait seul vas te demander qui tu es pour moi. Devenir ami avec toi pour se rapprocher de moi. C'est ce qui c'est passé la première fois avant ton accident.

On n'avait pas réussi à savoir toute l'affaire de comment ma sœur était tombé de cette falaise.

Il me laisse commencer pour les questions. J'avale mon morceau de pomme tout en me demandant qu'elle première question je vais lancer. Puis après un moment je me lance en demandant tout en regardant intensément mon frère

"Qu'elle est la version qui vous a été donné pour ma soi disant mort?"

J'ai un petit ricanement en entendant les paroles de mon frère. Pour ce qui est de mes collègues sincèrement ils ont un certain point de vue concernant ma personne.

"Tu sais pour mes collègues je suis trompe la mort, l'enquiquineuse de service, celle qui s'attache trop aux patients j'ai pas vraiment d'ami ici à par Tomoya et c'est pas près de changer"

Je la regarde et ma morte la lèvre inférieure. Je serre les poings de la main qui ne tenait pas le fruit. Je mets un moment avant de parler. J'aimais pas parler de ce moment, mais si on voulait avancer. Il fallait en passer pars là.

- La personne qui était avec nous a dit que vous étiez à faire les folles. Que tu as glissé et qu'elle a vu ton corps tomber dans l'eau après que tu te sois cogné plusieurs fois la tête. On a fait faire des recherches et on n'a jamais retrouvé le corps.

C'était à mon tour de poser des questions. Je me lance et dis:

- qu'elles sont tes souvenirs du soi-disant accident ?

Oui, je dis bien soi-disant à cause d après ma cure. Avec mon père, on en a longuement parlé et lui est d'accord avec moi. Cela ne pouvait pas être un accident pas après ce qui s'était passer la dernière fois qu'on a vu ma sœur.

je fronces les sourcils tout en écoutant avec beaucoup d'attention mon frère répondre à ma question concernant ma soi disant mort. Il me parles de quelqu'un avec qui j'aurais fais la folle et que je serais tombé. Je ferme un instant les yeux en quête de souvenirs ou flash. Il me retourne la question. Je reste un moment silencieuse avant de lancer

"Vous risquiez pas de trouver un cadavre. Pour ce qui est des souvenirs c'est pas vraiment des souvenirs mais plutôt des images, des cauchemars toujours les mêmes. Je revois une main m'aggriper j'entends mon amie crier, on me force à avancer je veux pas je sens un coup derrière ma tête et c'est le noir. Je me souviens d'un tatouage une espèce de tête de mort avec une rose apposé sur une ancre de bateau."

Je me tais un moment avant de reprendre

"Je sens des liens, la faim la soif, le sang sécher. On me fait mal je ne crie pas je n'ai pas la force de le faire. Combien de temps je ne sais pas. On me jette dans un ravin. Je me réveille à l'hopital. mais après se sont que des flashs. Pendant longtemps sans pouvoir les assembler parfois quelques choses les déclenches je ne sais jamais quoi. Quand je me suis réveillé à l'hopital les médecins ne savaient rien de moi, ils n'étaient pas très optimistes j'avais divers fractures, sous alimenté, plusieurs grosses hémorragies."

Je lui montre mes poignets on peut voir de vieilles cicatrices blanche comme si j'avais essayer de tirer sur des liens

"J'ai les mêmes au cheville et certaines au niveau de mon cou que je masque avec du maquillage. je n'aime pas en parler je n'aime pas revoir ses flashs."

Je me mords la lèvre inférieure et pose ma raison sur le plateau. Je me lève et m'approche de ma soeur. Posant ma main sur son épaule et lui caresse les poignets comme pour essayer de gommer ses marques. J'avais dit à mon père que ce n'était pas une bonne idée de présenter mes plus jeune au monde entier. J'en étais sûr que ça avait été de ma faute.

- je suis désolé que tu sois du supporteur tout cela. C'est ma faute, nos parents étaient tellement fiers de ma carrière. Qu'ils m'ont demandé de vous montrer Seug hae et toi. J'ai fini par craquer et un mois plus tard après vous avoir fait monter sur scènes avec le groupe. Tu as disparu enfin tu as été déclarer morte.

Je crois que la lubie de notre mère de transformer notre jeune frère en fille . À certainement sauver la vie de notre petit frère. Je m'en veux énormément et c'est ce qui a fait que pour oublier cette culpabilité qui me rongeait. J'ai fini par prendre ce qui me permettait d'oublier. La drogue, oui ce n'est pas un moyen clean, mais c'était mon moyen de me tuer à petit feu. C'était mon moyen à moi de me punir d'avoir tué ma petite sœur.

Non il n'a pas à être désolé se n'est pas de sa faute, tout au moins je ne veux pas qu'il se sente responsable de ce qui a pu se passer il y a plusieurs années. Je prends ses mains dans les miennes tout en plongeant mine regard dans le sien je dis

"ne sois pas désolé tu n'y est pour rien. Nous ne sommes plus des enfants maintenant ça va aller "

Je suis de nature positive c'est ce qui m'a toujours aider à aller de lavant même quand ça ne va pas. Je décide de lancer une nouvelle question

"nos parents habitent Séoul?"

Je calme le tremblement de mes mains grâce à l'aide de ma sœur. Puis, elle passe à un autre sujet.
- Oui, si à l'époque . Il était un peu moins protecteur depuis le drame. On va dire que notre petit frère n'a eu moins de liberté que nous. Quand, il allait à l'école. Il devait absolument rentrer directement à la maison quand notre père n'allait pas le chercher les cours. Ils ont vraiment lâcher la bride quand il est rentré à l'université.
Je me rassois à ma picorant dans les fruits plus par habitude que grande faim. Puis, on va dire que même si je suis dans une agence assez cool. Il faisait attention à ce qu'on mangeait.
- Bon alors c'est à mon tour pour les questions tu as quelqu'un dans ta vie . Je parle amoureusement bien sur.

Apparemment les parents ont été ultra protecteur envers le petit frère. Ce qui a dut être vraiment très compliqués. Je me mordille un peu la lèvre inférieur je reste silencieuse me contentant de hocher la tête de bas en haut. Il me pose une question concernant ma vie amoureuse

"non je n'ai personne je nai pas trop le temps d'avoir une vie en dehors du travail"

Et dans un certains sens pour le moment ça me conviens à moi de lui retourner la question je dis

"et toi? "

Je souris quand elle me retourne la question.

- Non personne pour le moment. Je n'ai pas encore trouvé la personne qui va faire battre mon cœur. En fait, je suis comme toi. Je suis pour le moment trop occupé à remettre mon groupe en route. Ce n'est pas facile tous les jours donc avant de me concentrer sur une jeune femme.

Je finis la grappe de raisin qui n'avait plus grandes choses dessus.

- Hum, si tu as d'autres questions n'hésite pas . Parce que je ne sais plus quoi demander. Je pense que ça se mélange un peu trop dans ma tête.

En fait je n'arrivais du tout à mettre mes idées en place. Puis, ni dans quelle direction partir de peur d'une d'être blessé par une réponse et des deux parce que je ne savais pas quoi dire.

je croque à nouveau dans ma pomme. Des questions j'en ai tellement dans la tête et pourtant je ne sais pas non plus par où commencer. Mon frère n'a pas de relation. J'en prends note dans un coin de ma tête. Je bois un peu de ma boisson avant de reprendre la parole

"Des questions j'en ai tellement mais je sais pas par où commencer"

Je regarde un moment le coin de mon plateau. Je penche un peu la tête sur le coté tout en réfléchissant. Si je pouvais me rappeler de mon enfance.

"Est ce que tu as des albums photos du passé ou bien des choses qui m'appartenais? Je me dis que peut être si je pouvais booster ma mémoire essayer de déclencher des images ça pourrait m'aider?"

J'ai enfin fini mon raisin et je ne sais pas trop. Je regarde ma sœur et quand elle me dit qu'elle ne sait pas trop pars ou commencer je me sens rassurer. Je crois qu'on est tous pareil. Trop de questions qu'on ne sait pas vraiment par où commencer. Je regarde ma sœur et fis étonner de sa question.

- Chez moi, j'ai quelque album photo donc oui. Ensuite, je sais que maman a laissé ta chambre comme elle était. Sauf pour les vêtements que notre petit frère a hérité. Enfin c'est assez compliquer à expliquer.

Je souris et regarde mon téléphone.

- Zut, j'ai un rendez-vous avec mon agence pour une interview; si ça te dit de venir ce week- end chez moi. Je t'enverrais l'adresse par SMS.

Mon frère me dit qu'il a des albums je hoche la tête tout en l'écoutant poursuivre il me propose que l'on se retrouve ce week-end en et qu'il a un rendez vous. Oui faisons ainsi ça sera le mieux. Je lui souris en disant

"d'accord pour le week-end je ramènerai quelques choses à manger"

Je suis de nature maternelle et protectrice. Je fini ma pomme tout en regardant mon frère avant qu'il ne parte je dis

"merci d'être venu"