mon téléphone vibre m'annonçant un nouveau et incalculable message. J'aimerai tellement ne plus l'entendre je veux seulement m'enfermer dans ma bulle ne plus penser à rien. J'entends encore la voix de ma petite soeur me réprimander en me disant qu'il faut toujours lire un message. à contre coeur j'ouvre mon téléphone en lisant à voix basse

"Jong Min, bon je te préviens si tu ne donne pas des nouvelle. Je viens chez toi te sortir par la peau des fesses de ton appartement.

Pitiés donne moi des nouvelles, je commence sérieusement à m'inquiété."

à quoi bons donner des nouvelles et pour dire quoi? Désolé ma soeur est morte point? C'est ridicule. Je balance mon téléphone sur mon matelas. Il est tôt mais je n'arrive pas à dormir. Les cernes sous mes yeux en témoignent. La veille je suis allé chercher les affaires de ma soeur à l'université. Trois cartons posé là sur le sol. Je n'ai pas la force de les jeter et pourtant il faut bien que je range le tout. Je commence à mettre dans des cartons les affaires de son armoire. En levant les yeux je remarque plusieurs caisses vide posé sur le meuble. Je prends un escabeau et je monte pour les attraper. Une caisse, deux caisses j'allais en attraper une autre quand la sonnerie de la porte retenti me faisant perdre l'équilibre et tomber de tout mon poids sur le sol de la chambre. Une mini descente de lit amortissant ma pauvre chute. Je reste silencieux peut être que la personne qui a sonné allait partir. Je ne bouge pas les oreilles aux aguets.

La vie n'est pas un long fleuve tranquille. Bouda nous à mentis sur cette chose-là. Comment on peut vivre une vie tranquille quand notre vie n'est pas tranquille. Je vis à cent à l'heure surtout depuis qu'on a décidé de reformer le groupe. Fini les carrières solos enfin pour le moment on se concentre sur la carrière du groupe.

Pourtant, je n'avais pas totalement mis les autres personnes de côté. j’envoyais régulièrement des textos à mon petit frère savoir si tu te passais bien dans ces études. Il fallait bien que je joue parfois le rôle de grand frère. Puis, des textos à un ami idole lui aussi. Pourtant, depuis quelque temps je n'avais pas de nouvelle. Un mois sans nouvelles et j'étais inquiet. Je lui envoie un autre message et encore sa boîte doit être pleine à force.

Une heure après avoir envoyé le message toujours pas de réponse. C'est décider je mets ma menace à exécution. Me voilà, partit en direction de l'appartement de mon ami. C'est même mon voisin alors oui je sais où il habite. Je sonne une fois pas de réponse, deux fois toujours pas de réponse. Je descends voir la concierge et lui fais mon numéro de charme. Elle finit par accepter d'ouvrir l'appartement de mon ami. Je la remercie, j'avais certes vendu mon âme au diable vu que pour avoir ce que je désire. J'ai dû accepter de passer toute une soirée avec elle. Jong min me le payera, bon d'accord il avait été là pour moi le jour ou j'ai complètement dérapé.

j'entends la sonnette de ma porte d'entrée retentir plusieurs fois. Bon sang quand on veut être tranquille on ne le peut jamais. Je ne bouge pas d'un poil de toute manière avec l'escabeau sur moi et les caisse c'est un peu compliqué. Un moment de silence je me sens soulager. Jusqu'au moment où j'entends la porte s'ouvrir. Comment la personne est entrer? Seule ma soeur à un doublon des clés et je l'ai récupérer. Il y a aussi la concierge. Je ne vais pas pouvoir me cacher éternellement. J'entends des pas. J'essaie de m'extirper de sous l'escabeau sans grand succès. Je grogne entre mes dents

"Je vais faire changer la serrure..."

Je peux sentir mon coeur commencer à battre la chamade au fur et à mesure que je peux entendre des pas. Avant d'entendre une voix je dis assez fort

"QUI EST LA?"

Je lui fais un grand sourire et enfin elle me laisse seule dans l'appartement. Je pars donc à la recherche de mon ami. Bon commencé par la cuisine. Puis, le salon et toujours personne. Je me dirige vers les couloirs quand une voix se fait entendre d'une des chambres. Je me dirige vers la voix sans répondre pour le moment. J'ouvre la porte en disant.

- Devine, celui qui t'a menacé de t'extirper de ton appartement.

Je le cherche dans toute la pièce jusqu'à ce que mon regard tombe enfin sur lui. Je me dirige plus rapidement vers lui et lui retire l'escabeau qui est assez lourd tout de même.

- Tu ne t'es pas fait mal .

Oui, je m’inquiète et je suis ainsi avec tous mes amis. Surtout que lui et moi on a le même souci. Notre corps est notre gagne-pain alors une petite blessure et une carrière est vite brisée toute comme n'importe quelle rumeur.

Je ne tarde pas à voir dans mon champ de vision une paire de jambe. puis un visage. Chae Jun en personne. Après Tomoya il est le deuxième à venir aux nouvelles. Je le laisse enlever l'escabeau. Je grimace légèrement en sentant quelques douleurs par ci et par là mais rien de méchant je devrais y survivre. Je m'assois sur le lit de ma soeur

"Je devrais survivre."

Je regarde mon ami. Je me doute qu'il doit s'inquiéter mais je n'ai pas envie de sortir pour le moment. Je soupire

"je n'ai pas envie de sortir. J'ai besoins d'un peu de temps et j'ai pas envie d'en parler"

Il était dégagé heureusement quelques minutes de plus et ça aurait pu être plus dangereux. Je me mets contre le côté de la porte ouverte évitant de tomber moi aussi. Je croise mes bras sur ma poitrine et soupire en l'entendant dire qu'il devrait survivre. Puis, il dit qu'il ne voulait pas en parler et pas sortir.

- Bah, si tu sors pas avec moi. Je reste ici avec toi jusqu'à ce que tu ailles mieux. Après tous ceux qui écrivent les paroles de nos chansons n'a pas encore fini.

Le souci avec moi, c'est que j'étais capable de rester ici jusqu’à ce qu'il se décidât à manger un peu, dormir ou même se changer les idées. Je lui demandais pas de me dire ce qui lui arrive, mais de s'épauler sur moi. De m'utiliser s'il avait envie pour se changer les idées. Qu'il passe ses nerfs sur moi, qu'il utilise mon épaule pour pleurer.

Je regarde mon ami. Il y a une chose que je sais c'est que quand il a quelques choses en tête il peut se montrer des plus déterminer. Je soupire en restant silencieux. Je me lève et continu de vider l'armoire. Je sais que tout comme moi il a connu la perte d'une sœur. Après un long moment je lance

"tu veux m'aider? Je dois tout mettre en carton et défaire tout les posters."

Je ne veux pas de questions je ne veux pas de pitié non plus. Je veux seulement du temps pour pouvoir remonter la pente du temps pour pouvoir faire mon deuil tout simplement.

"si tu veux boire ou manger fais comme chez toi tu connais l'appartement "

Je reste les bras croisés devant cet entrebâillement de porte. Je le regarde faire et enfin. Il réagit et me demande si je peux l'aider à mettre les affaires en carton. J'avais une envie folle de poser la question qui me brûlait les lèvres et pourtant j'avais l'impression que la réponse n'allait pas du tout me plaire. Alors, je laisse ma bouche fermer et cette question se ranger dans un des tiroirs bordélique de ma mémoire. Je commence à décrocher les poster qui était au mur. Ceux du jeune groupe, de son grand frère et pour mon plus grand étonnement celui de mon groupe.

J'étais perdu dans mais pensés quand il me dit que je peux aller me chercher à manger ou bien aller boire. Je connaissais la maison. Je sursaute à ce moment revenant à la réalité. Je me mords la lèvre inférieure et fis ok d'un signe de tête. Je ne sais pas pourquoi voir se poster qui datait du début de gloire de notre groupe. Pourquoi ce simple poster me fait sentir mal à l'aise et fait remonter d'horrible souvenir. Je me demande si c'était une bonne idée de reformer le groupe. Toute façon l'avenir nous le dira.

- Tu devrais manger toi aussi, ou aller te reposer je finis de ranger.

je continus à ranger pendant que mon ami commence à décrocher les différents posters. Ma petite soeur aimait beaucoup les lovers5 et cela depuis leurs débuts. Bien sur elle n'était pas ce genre de fille à baver et complètement hystérique mais leurs chansons avait le don de l'apaiser dans les moments difficile. Je pense que c'est même grace à ce groupe qu'elle a eut envie de suivre des études de l'art de la scène option danse.

"je n'ai pas faim"

Concernant les poster je me tourne légèrement en les voyants s'entasser sur le lit.

"Pour les posters si tu veux tu peux les récupérer je crois qu'elle aurait aimé. Et avant que tu pose la question elle est morte. Elle a été renversé par un chauffard fou je n'ai rien pu faire. C'est pour ça que j'ai besoins d'être un peu seul mais t'inquiète pas ça va je ne vais pas faire de bêtises"

Je soupire quand il dit qu'il n'avait pas faim. Je me remets à ma tâche pliant enfin enroulant délicatement les posters. Là il me dit que sa sœur est morte renversé par une voiture. Je me retourne vers quand il dit que je peux récupérer les posters sa sœur aurait aimé.
- Merci, je pense que je vais les mettres dans notre salle. Pour que les membres du groupe puissent les signer en hommage à ta petite sœur. Elle faisait quoi comme étude .
Je sais une chose c'est que la pitié et les condoléances on ne veut pas les entendres dans ses moments là. On n'a qu'une envie c'est d'oublier et surtout qu'on nous laisse tranquille. Pourtant, on ne doit pas rester seul et surtout s'occuper. C'est dans c'est moment là qu'on broie de la noire.
- Je sais que tu ne ferrais pas de bêtises, tu es plus fort que moi. Pourtant, je serais toujours là pour toi. Tu m'appelles à n'importe quelle heure pour te changer les idées tu sais que je viendrai.

Ma petite soeur était toujours enjouée et positive, même quand on était triste elle savait nous remonter le moral et nous faire rire. Sa joie de vie était pour moi une vraie bouffée d'oxygène. Pour elle je pouvais me plier en quatre. Parler d'elle est douloureux et en même temps apaisant. Bien qu'elle soit partie elle resta en vie en moi temps que je penserai à elle. Et cela rien ni personne ne pourra me le supprimer

"Min ah aimait beaucoup les lovers5 cela faisait plusieurs années qu'elle me parlait de ses projets qu'elle voulait aller en art de la scène option danse et chant. Je t'avoue qu'au début je me suis dit que c'était une lubie passagère mais en fait non."

Je passe une main dans mes cheveux avant de me tourner pour regarder mon ami. Je sais qu'il sera là pour moi.

"on est là l'un pour l'autre. Mais comme tu le sais parfois on a besoins de se retrouver un peu dans sa bulle."

Je fus touché par c'est parole et recherche un élastique. Je trouve toutes une boîte d'élastique à cheveux. Je me retourne vers mon ami et dis:

- je peux en prendre deux . Un pour faire tenir les rouleaux et l'autre parce que je commence à en avoir marre d'avoir les cheveux dans les yeux.

Je commence à mettre quelque livre dans les cartons des cahiers qui se trouvaient sur le bureau et dit:

- ta petite sœur était dans la classe de mon petit frère. Je crois qu'on les surprotège trop parce qu'on connais ce monde. On sait comment on descend vite en enfer surtout qu'on n'arrive pas avoir une vie privée. J'avoue aimer mon métier, mais qu'a la mort de ma petite soeur suis fait là un des journaux et qu'ils ont été à aller jusqu'à l'enterrement. Je n'avais qu'une envie être une personne normale. Alors, oui je sais qu'on veut être dans sa bulle, mais protèges-toi des journalistes et des paparazzi parce que si tu donnes pas signe. ils vont fouiller et là ça finira en drame.

Je hoche la tête bien sur il peut prendre deux élastiques même quatre ou cinq se n'est pas à moi que ça va servir. Effectivement ma soeur avait les mêmes cours que le petit frère de mon ami. D'ailleurs en parlant de lui je ne peux m'empêcher de dire

"Quand j'ai été récupéré les affaires de min ah je suis justement tombé sur ton frère de façon littéral du terme. Il est assez maigre faudrait faire attention qu'il ne se carence pas."

Mon coté médecin est toujours là malgré moi mais je remarque tout et rien ne m'échappe. Je reprends

"Pour les journalistes j'ai la chance en général ils ne se préoccupent pas trop de moi. Et puis avec le grand retour des lovers5 je suis plus tranquille mais j'imagine que toi plus trop."

J'attache mes cheveux ouf, je vois un peu mieux. Non je ne couperais pas mes jolis cheveux. Puis, on parle de mon frère. Je suis inquiet pour lui, mais je dois avouer aussi être d'une grande fierté. Mon petit frère qui prend le flambeau. Puis, il me dit qu'il trouvait mon frère maigre et qu'on devrait faire attention qu'il une face pas une carence. Là j'éclate de rire. Je le regarde et dis:

- Je m’inquiéterais pas pour mon petit frère. Il vaut mieux le voir en photo qu'a tablé. Non, ce qui nous inquiète énormément c'est que quand il se blesse. Il ne ressent rien et se depuis qu'il est tout petit.

Oui, mon petit frère était un cas à pars. Quand, on était à table. Il mangeait beaucoup plus que moi ce qui était impressionnant c'est qu'il ne grossissait pas énormément. Ce qui fait que ma mère pouvait l'habiller dans les vêtements de ma petite soeur.

- Oh m'en parle pas. Je n'arrive plus à aller faire les courses sans voir un paparazzi dans le magasin. Je suis obligé d'envoyer un de mes parents quand il s'agit de petite chose importante.

Je fronce les sourcils en écoutant mon ami parler de son frère qui ne sentirai pas la douleur quand il se blesse. C'est en effet assez inquiétant surtout que ça peut être un des symptômes d'une pathologie d'insensibilité ou nerveuse évolutive ou non. J'arrête ce que je fais pour me tourner vers mon ami.

"ton frère a déjà été voir un médecin pour ce problème d'insensibilité à la douleur?"

Dans mes yeux et ma voix on peut y lire et entendre de l'inquiétude. Oui je suis ainsi mais j'ai mes raisons je n'aime pas savoir mes amis ou les proches de mes amis en mauvaises santé. Comme dit tomographie je ferais mieux de finir mes études et reprendre ma première vocation plutôt que faire de la scène.

"le paparazzi sont comme des vautours à tourner autour d'une pauvre proie qui n'a rien demandé à personne. Pour les éviter je vais souvent là où il y a le plus de monde ."

Je l'entends plus brasser ses affaires relève la tête. Je le regard et vois son air inquiet.

- ça oui, ils lui ont fait passer pas mal de test et ne savent pas ce qui se passe. Ce qui m'inquiète c'est qu'avec son futur métier une simple blessure peut lui coûter sa carrière. S'il ne sent pas qu'il sait blesser alors il pourrait aggraver la chose.

Voilà pourquoi ça me rassure qu'il soit encore à l'école. Parce que les professeurs sont très protecteurs avec leur élève beaucoup plus qu'un agent qui risque de le lâcher après une simple petite blessure. Puis, on reviens sur le sujet des paparazzi et je m'assis sur le bord du bureau et dis:

- moi, même les endroits les plus fréquentés font que je passe pas inaperçue. Puis, depuis que j'ai repris. Ils veulent savoir ce que j'ai faits pendant mon absence voilà pourquoi j'évite d'aller voir mon petit frère et surtout le protège. C'est hors de question qu'il s'en prenne à lui.

le danger de ne pas sentir la douleur est de pouvoir se vider de son sang en quelques minutes et de mourir rapidement. Souvent les personnes atteintes de ce genre de trouble ont des déficiences en coagulation sanguine qui peut aller jusqu'à l'hémophilie. Je soupire avant de dire

"ça peut être très dangereux. J'ai un ami qui est pédiatre à l'hopital. Il s'appelle Kim Tomoya il connait ce genre de syndrome et maladies touchant les déficiences au niveau douleurs. Je te donnerai son numéro pour que tu vois. Je suis inquiet pour ton frère"

Oui je le suis, on peut le voir dans mes yeux. Je me remets accroupit à remplir le carton. C'est fou ce que ma petite soeur pouvait garder en réserve un vrai petit écureuil.

"Je comprends tu veux protéger ton frère. Parfois quand tu donne au paparazzi ce qu'ils veulent genre interview spéciale après tu as la paix pendant quelques semaines."

Je regarde mon ami et lui sourit quand il me propose de me donner le numéro d'un de ses amis qui est pédiatre, mais surtout qui connaît bien la maladie de mon frère. Je le remercie lui disant que c'est super-sympa. Puis grimace quand il me dit que je devrais certainement donner une petite interview au paparazzi pour qu'il me laisse tranquille.

- Ouais, je ne suis pas très sur. Enfin, je vais en parler avec mon agent voir ce qu'il en pense lui.

Puis, je recommence à mettre certaines affaires en carton. J'avais envie de lui dire que j'avais retrouvé ma sœur. Pourtant, je ne voulais pas de peur que se soit qu'un rêve. Pourtant, je finis par lui dire.

- Tu dirais quoi si je te dis que j'ai croisé une fille. Qui porte le nom de ma sœur et qui est complètement amnésique. Qui ressemble à ma sœur ? Qu'est-ce que tu ferrais à ma place ?

Quand on fait partie des idoles, de ces fameuses star c'est comme si notre vie nous appartenaient plus vraiment c'est comme si on avait pas notre mots à dire tout est dicté et choisi par l'agent qui s'occupe de nous. Parfois jusqu'à nos repas. Je sais qu'il en souffre de cette situation comme bon nombre d'entre nous. je continus ce que je fais tout en l'écoutant. Je m'arrête soudain en entendant ses paroles je fais volte face je fronce les sourcils.

"Tu as repris de la drogue? Déjà il faut s'assurer que ce que tu as vu n'est pas fruit de ton imagination. Ta soeur est morte il y a bien longtemps."

Je ne comprends pas je m'inquiète

"Je pense qu'il faut essayer de comprendre."

Je sens dans sa voix son inquiétude et quand il me demande si je me drogue de nouveau. Je prends un air choqué et dis :

- franchement non, ok j'ai eu des tentations parfois . Pourtant, j'ai résisté et franchement tu crois vraiment que je serrais comme son si je prenais encore de la drogue. Tu peux vérifier je te jure que je prends plus rien. Pour une hallucination, on était deux à en avoir une. Parce que tu souviens de mon meilleur ami celui qui t'a aidé quand j'étais au fond du gouffre à me relever. Lui aussi l'a vu.
Je m'assis sur le lit, comme une faible chose. J'en étais sûr, j'avais dû rêver ce n'était pas possible. Ma soeur était morte . Bon d'accord, il n'y avait pas de corps dans le cercueil.
- Je n'en sais rien, je suis complètement largué et comment faire. Je veux pas la blesser si c'est réellement elle.

Je n'ai pas de réponses. Mais je sais une choses c'est que les liens du sang sont plus fort que tout et si cette demoiselle est bien sa soeur au fond de lui il le sait. De plus il existe des tests génétiques pour résoudre le problème.

"Je n'ai pas de réponses toute faites. Je pense qu'il faut que tu suives ton coeur. Si toute fois elle est bien vivante tu dois être là pour elle tu dois l'aider au mieux."

Bien sur rien ni personne ne peut rattraper des années perdu mais on peut essayer de se connaitre. Je soupire avant de reprendre

"Je suis là si tu as besoins de parler."

- Je sais au fonds de moi que c'est elle. Quand je l'ai regardé. J'ai senti cette connexion qu'on avait quand on était enfant elle et moi.

Je le regarde et soupire m'allongeant sur le lit. Je regarde le plafond me rendant compte qu'il y a des poster même sur le plafond que je n'avais pas vu. Puis, des photos des enfants Choi. Je me retiens de rire en reconnaissant mon ami avec une bouille enfantine.

- Je sais que tu es là. Je te remercie et tu ne sais pas tous de l'affaire. Un mois avant la soi-disant mort de ma sœur. On m'a demandé de présenter mon petit frère et celle-ci au public. J'ai accepté après un moment et je les fais lors d'un concert. Voilà pourquoi maintenant je veux protéger ma famille. Je refuse qu'il revoie la tête de mon petit frère. Il aurait sa gloire à lui aussi.

Je regarde mon ami s'allonger su le lit je fais de même et c'est à ce moment que je remarque les poster au plafond. Bon sang ma sœur en a vraiment mit partout on peut même se demander comment elle s'y est prise.

"elle en a même tamiser le plafond..."

Je tourne la tête vers mon ami. Certainement son agent et sa famille l'on poussé à l'époque à exposer sa fratrie. Parfois on se sent piège mais il faut apprendre à garder un libre arbitre

"ils n'ont toujours pas conscience des graves conséquences que ça peut avoir. Parfois il faut apprendre à dire non."

La réaction de mon ami quand il voit que sa sœur avait même tapissé le plafond me fait rire. J'en avais besoin de rire un peu et je pense que si je m'inquiétais c'est que j'avais besoin de lui moi aussi alors pourquoi pas se remonter le moral tous les deux.

- Je me demande comment elle a fait pour l'accrocher le haut.

Puis je tourne la tête pour croiser son regard et dis:

- quand on n'a que 21 ans, on ne voit pas encore tout le monde. Aujourd'hui, on me demande de faire la même chose. Je refuse catégoriquement de les exposer au média. C'est à eux de savoir si veule être devant les caméras ou pas. À 21 ans, on nous dit qu'il ne risque vraiment rien. On finit par le croire surtout quand nos parents sont d'accord aussi alors on ne voit pas le danger. On croit que tout va bien se passer. C'est comme la loterie, soit tout va bien et on est heureux dans le meilleur des mondes. Soit ça ne va pas et c'est le drame. Je n'ai juste pas eu de chance.

ma petite soeur a toujours eut de la ressource c'est quelques choses qui m'a vraiment toujours impressionner. Avec rien elle arrivait à faire quelques choses. D'une boite elle arrivait à la transformer pour faire un jeu. Je croise les bras sur mon torse tout en regardant le poster au dessus de ma tête

"Moi je me demande comment on va les décrocher"

J'écoute mon ami parler. Il est vrai qu'à l'époque il était jeune, maintenant il peut dire parfois non. Je soupire avant de reprendre

"Je comprends. Mais je ne pense pas que tu dois te sentir coupable car après tout c'est ton agent qui est en parti responsable"