Nous voilà sur le lit de sa sœur, moi assis et lui en train de grimper sur mes épaules. Cela aurait pu être comique si ce n'était pas du sérieux. C'était pour décrocher un poster coller au plafond. Je me demandais encore et toujours la jeune fille avait bien pu accrocher se poster. Puis, il me dit que c'est bon, je pouvais me mettre debout. Bon, je ne dis rien, mais une chose est sur . C'est que depuis l'université le monsieur avait pris du poids. Je me mets bien en dessous du poster et il commence à lever les bras. Je le vois la complètement stopper me demandant ce qu'il lui arrivait et enfin, il me dit de le faire descendre. Enfin j'ai bien compris les mots descendre et le mal. Vu la couleur c'est qu'il avait mal quelques pars et je savais d'où cela était dû. Cela venait du fait qu'il soit tombé avec l'escabeau. Je me fais pas prier et je m'assis pour l'aider à descendre légèrement.
- J'en étais sûr. Aller dit moi ou ton mal. Je vais aller chercher de quoi te soigner chez moi et le temps que je ne sois pas là. Enlève ton haut.
Je cours vers mon appartement et me dirige vers ma salle de bain enfin en perdant au moins trois fois la clé. Parce que tellement presser d'ouvrir que j'avais les mains qui tremblaient légèrement. J'arrive enfin à l'ouvrir et rentrer dans mon appartement me diriger vers mon armoire à pharmacie et cherche une pommade et une longue bande. Ce que j'avais oublié c'est qu'il me restait de comprimer contre la dépression . Je repousse les flacons loin de mes yeux. Je dois avouer que je le garde au cas, où mais personne ne sait que je l'ai.